Au moment où j’écris ces lignes, mon fils se remet tranquillement d’une gastro-entérite; les derniers jours se sont déroulés à un rythme plutôt chaotique. Mis à part quelques rhumes sans graves conséquences, c’était la première fois cette année qu'un de mes enfants était vraiment malade. J’ai alors réalisé à quel point nous étions chanceux que je puisse rester à la maison auprès des enfants pour en prendre soin.
Dans mon cœur de maman, je préfère de loin être aux côtés d'eux lorsqu’ils sont malade. Et je suis certaine que c'est aussi votre cas. Durant ma propre enfance, jamais ma mère n’a été absente alors que j’étais malade. Elle était à mes yeux, la seule personne au monde dont j’avais besoin en ces temps plus difficiles. Le fait qu’elle soit là, à mes côtés, m’aidait à me laisser aller avec confiance et à guérir à mon rythme dans le confort de mon lit ou du lit de mes parents! Pour moi, ma super-maman pouvait guérir tous les petits bobos par la magie de l’amour, du réconfort et d’un je-ne-sais-quoi de mystérieux qui faisait en sorte que je sentais que rien de mal ne pouvait m’arriver si elle veillait sur moi.
Cette fin de semaine, j’ai donc revêtu mon chapeau d’ange-infirmière et posé mes ailes sur les épaules de A pour le rassurer du mieux que j’ai pu par ma présence Ceci n’aurait pas été possible si j’avais eu à travailler à l’extérieur de la maison. Quel employeur aurait accepté que je manque le travail durant plus de trois jours consécutifs pour rester auprès de mon petit bonhomme? Il y en a sûrement mais malheureusement, ce sont des perles rares qui ne forment pas la majorité des employeurs. Et même si mamie ou grand-maman s’étaiten portées volontaires pour venir prendre soin de lui durant notre absence, j’aurais eu tellement de mal à me concentrer au travail que je n’aurais tout simplement pas été productive. C’est l’esprit tranquille que j’ai pu prendre soin de mon ti-loup malade sans me sentir coupable de manquer du travail.
Au moment où je vous écris ces mots, A va beaucoup mieux et mon cœur de maman aussi. J’ai remisé au placard mon chapeau d’ange-infirmière et poussé un grand oufff de soulagement. Une gastro n’est pas la fin du monde mais pour une maman, le moindre petit malaise de son enfant engendre une foule de petites inquiétudes et nous donne un boost d’adrénaline pour que nous soyons prêtes à bien réagir s’il y a lieu.
Une chose est certaine, c’est que je suis ravie d’avoir pu être aux côtés de ce petit que j’aime plus que tout au monde afin d’en prendre soin, de le rassurer et de l’envelopper de tout mon amour!
J’ai été là, à ses côtés.
Mission accomplie!
Dans mon cœur de maman, je préfère de loin être aux côtés d'eux lorsqu’ils sont malade. Et je suis certaine que c'est aussi votre cas. Durant ma propre enfance, jamais ma mère n’a été absente alors que j’étais malade. Elle était à mes yeux, la seule personne au monde dont j’avais besoin en ces temps plus difficiles. Le fait qu’elle soit là, à mes côtés, m’aidait à me laisser aller avec confiance et à guérir à mon rythme dans le confort de mon lit ou du lit de mes parents! Pour moi, ma super-maman pouvait guérir tous les petits bobos par la magie de l’amour, du réconfort et d’un je-ne-sais-quoi de mystérieux qui faisait en sorte que je sentais que rien de mal ne pouvait m’arriver si elle veillait sur moi.
Cette fin de semaine, j’ai donc revêtu mon chapeau d’ange-infirmière et posé mes ailes sur les épaules de A pour le rassurer du mieux que j’ai pu par ma présence Ceci n’aurait pas été possible si j’avais eu à travailler à l’extérieur de la maison. Quel employeur aurait accepté que je manque le travail durant plus de trois jours consécutifs pour rester auprès de mon petit bonhomme? Il y en a sûrement mais malheureusement, ce sont des perles rares qui ne forment pas la majorité des employeurs. Et même si mamie ou grand-maman s’étaiten portées volontaires pour venir prendre soin de lui durant notre absence, j’aurais eu tellement de mal à me concentrer au travail que je n’aurais tout simplement pas été productive. C’est l’esprit tranquille que j’ai pu prendre soin de mon ti-loup malade sans me sentir coupable de manquer du travail.
Au moment où je vous écris ces mots, A va beaucoup mieux et mon cœur de maman aussi. J’ai remisé au placard mon chapeau d’ange-infirmière et poussé un grand oufff de soulagement. Une gastro n’est pas la fin du monde mais pour une maman, le moindre petit malaise de son enfant engendre une foule de petites inquiétudes et nous donne un boost d’adrénaline pour que nous soyons prêtes à bien réagir s’il y a lieu.
Une chose est certaine, c’est que je suis ravie d’avoir pu être aux côtés de ce petit que j’aime plus que tout au monde afin d’en prendre soin, de le rassurer et de l’envelopper de tout mon amour!
J’ai été là, à ses côtés.
Mission accomplie!
Je te comprends si bien. Je n'ai pas la chance d'être auprès de mes filles chaque jour, de toute manière elles ont maintenant 10, 12 et 16 ans. Par contre, j'ai un employeur formidable qui me permet sans hésiter de rester à la maison lorsqu'une d'elles est malade. De toute manière, c'est primordial pour moi et c'est important que mon employeur le sache aussi. Je suis donc équipée de manière à pouvoir travailler au bureau virtuellement, à partir de ma maison dans les cas de fillettes-malades ou tempête de neige. Heureusement!
RépondreSupprimerMalheureusement ce n'est pas le cas de toutes, comme tu le dis et certaines vivent des réalités bien différentes. J'ai une pensée pour elles.
Comme je vous comprends...
RépondreSupprimerJ'ai moi-même eu la chance de choisir mes horaires de travail afin d'être disponible pour mon garçon.
J'étais là le matin lorsqu'il partait pour l'école et le soir lorsqu'il revenait. Il venait même manger 3 midis à la maison. Et lorsqu'il était malade, je me faisais un plaisir de le dorloter afin qu'il ne manque de rien. J'ai eu aussi une maman très aimante que j'ai le bonheur d'avoir encore, bien qu'elle soit âgée.
Je trouve tellement important de leur offrir le maximum de présence lorsqu'ils sont tout jeunes.
Il me semble que ce besoin de sécurité est indispensable à la formation de leur petite personne.
De mon côté j'ai beaucoup analyser la situation mère au foyer versus retour au travail mais le côté financier est venu peser dans la balance ! Donc je suis retourner travailler à raison de 4 jours par semaine mais je sais que j'ai des patrons en or qui me permettre lorsque j'en ai besoin de prendre des congés.
RépondreSupprimerDe mon côté, j'ai eu ma mère qui s'est occupé de nous lorsque j'étais jeune et j'ai beaucoup apprécié le fait qu'elle était à la maison pour s'occuper de nous ! J'aurai bien aimé faire pareil ! Peut être plus tard ?!? ...